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Un instrument incontournable
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Dans la presse classique, les journalistes enquêtent, rédigent. Avec The Conversation, leur rôle change : ils ouvrent la voie, proposent des thèmes, ensuite, c’est aux chercheurs de rédiger les articles sur la base de leurs propres travaux. Des textes qui devront être à la fois clairs et exigeants, et qui, une fois retenus par la rédaction, seront nourris par de nombreux échanges avec… les journalistes.
Dans la presse classique, le chercheur s’exprime, si l’on veut bien de lui, dans des pages « idées », « opinions », ou « débats » éloignées de la « Une ». Avec The Conversation, il est au cœur du dispositif éditorial, il fait véritablement partie de l’équipe, il n’en est pas un simple supplément d’âme.
Dans la presse classique, le même chercheur ne sait jamais à coup sûr quand son texte sera publié, et si, mine de rien, des corrections plus ou moins substantielles ne seront pas apportées. Dans The Conversation, il dialogue avec l’équipe du site, se met d’accord avec elle sur le jour de publication et fait son miel, ou non, comme il l’entend, des suggestions d’amélioration qui lui sont proposées – The Conversation est soigneusement édité.
Dans la presse classique, il n’est pas question de diffuser les articles d’un titre à l’autre – le modèle économique est aussi un modèle culturel : chacun pour soi. Avec The Conversation, l’open access généralisé prévaut, rien ne fait plus plaisir aux auteurs, et à la rédaction, que de voir un texte repris par un, et même mieux, plusieurs titres… de la presse classique.
Ajoutons à ces qualités uniques, et entre autres, la disponibilité de l’équipe de The Conversation, toujours partante pour une initiative nouvelle – animer un colloque, préparer un débat… : au plus loin des simplifications et des raccourcis, sérieux mais jamais pesant, The Conversation est devenu en quelques années un instrument incontournable pour qui veut réfléchir en profondeur, sans se couper pour autant de l’actualité. Soutenez ce jeune média, faites un don et engagez-vous en faveur d’une information de qualité.
Et aussi aujourd’hui, dans l’actualité :
Bonne lecture !
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Michel Wieviorka
Sociologue, Président de la FMSH
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À la une
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Les élèves doivent être capables de bien identifier et verbaliser leurs émotions pour rompre le cercle vicieux du harcèlement scolaire.
Shutterstock
Bérengère Stassin, Université de Lorraine
Alors que l’Éducation nationale a placé la lutte contre le harcèlement parmi les priorités de la rentrée scolaire 2019, présentation de dispositifs permettant de développer l’empathie des élèves.
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Culture
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R. Kelly Garrett, The Ohio State University; Robert Bond, The Ohio State University; Shannon Poulsen, The Ohio State University
Voir un titre du Gorafi et, pendant une fraction de seconde, penser que c'est vrai : cela arrive à tout le monde. Mais beaucoup d'utilisateurs ne comprennent pas la blague.
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Environnement
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Matthieu Glachant, Mines ParisTech
Votée en 2015, la tarification incitative dans la gestion des déchets municipaux peine à se généraliser. Une mesure pourtant plus efficace que la consigne des bouteilles en plastique.
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Économie
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Gilles Paché, Aix-Marseille Université (AMU)
À elle seule, la climatisation à prévoir pour l’évènement nécessiterait de recouvrir un dixième du pays de panneaux solaires.
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International
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Didier Chaudet, Institut français d'études sur l'Asie centrale
Loin d’être une force extérieure ou marginale, les talibans sont une force politique et militaire bien enracinée, notamment dans l’Afghanistan rural, conservateur, principalement en zone pachtoune.
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Politique + Société
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Vanessa Jérome, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne
Le « Grenelle des violences conjugales » lancé le 3 septembre dernier interroge et divise déjà les intervenant·e·s de la lutte contre les violences faites aux femmes.
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Santé
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Notre fonctionnement cérébral pourrait-il être à la fois le problème et la solution de la crise environnementale ?
Shutterstock
Antoine Pelissolo, Université Paris-Est Créteil Val de Marne (UPEC)
Alors que la planète se dégrade, l’angoisse environnementale gagne du terrain, générant un mal-être d’un nouveau genre : l’éco-anxiété. Mais ce n’est peut-être pas une mauvaise nouvelle.
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En anglais
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Florian Kiesel, Grenoble École de Management (GEM)
Since the first "climate awareness bond" was issued in 2007, the green-bond market has flourished. But how can investors judge their risk and effectiveness?
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Chroniqueurs
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Événements proposés
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83 boulevard Ornano, Paris, 75018, France — Fondation Veolia
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101, rue de Tolbiac, Île-de-France, 75013, France — Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm)
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Amphi de la Présidence de l'Université de Lorraine, 34 cours Léopold, Nancy, Meurthe-et-Moselle, 54000, France — Université de Lorraine
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20 avenue George Sand, St-Denis la Plaine, Seine-Saint-Denis, 93210, France — Université Paris 13 – USPC
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