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Et si on s’activait un peu ?
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Au travail ou à la maison, nous sommes de plus en plus sédentaires. Lire ou écrire en position assise ou allongée, regarder la télévision ou jouer à un jeu vidéo, travailler sur ordinateur ou « surfer » sur Internet, être passager dans une voiture : autant de situations où notre niveau d’activité physique est au plus bas.
Or la sédentarité entraîne des risques pour la santé, notamment pour le cœur et les artères. Ces effets sont avérés, et pourtant, les scientifiques ne sont pas d’accord entre eux sur le nombre d’heures à partir duquel on entre dans la zone rouge. Aline Hurtaud et Mikael Loriot, médecins généralistes et enseignants à l’université de Reims Champagne-Ardenne, se sont plongés dans la littérature scientifique sur le sujet. Et livrent quelques points de repère utiles à la femme et à l’homme moderne.
On se reposera, au besoin, sur l’Observatoire national de l’activité physique et de la sédentarité (Onaps). Parce qu’il faut bien donner au moins un ordre de grandeur, cet organisme créé par le ministère des Sports estime que nous sommes sédentaires au-delà de 7 heures passées assis ou allongé dans une journée. Son mot d’ordre ? « On s’active ! »
Bonne lecture !
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Estelle Saget
Cheffe de rubrique Santé et Médecine
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À la une
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Quand vous êtes assis plus de 7 heures par jour, vous êtes considéré comme sédentaire. Mais le seuil retenu varie selon les sources.
Daria Nepriakhina/Unsplash
Aline Hurtaud, Université de Reims Champagne-Ardenne; Mikaël Loriot, Université de Reims Champagne-Ardenne
Les Français passent de plus en plus de temps assis ou allongés, notamment devant un écran. Un mode de vie dommageable pour le cœur et les artères, que l’on peut modifier.
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Politique + Société
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Jerome Viala-Gaudefroy, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières
Le discours sur l’état de l’Union, un exercice traditionnel pour les présidents américains, a été marqué cette année par un changement de ton radical, dénotant le style quasi tyrannique de son auteur.
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Jean-Éric Branaa, Université Paris 2 Panthéon-Assas
La même terrible routine qui se met en branle à chaque tuerie de masse aux États-Unis : émotion collective, couverture médiatique, débats sans fin. Mais rien ne change dans un pays attaché aux armes.
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Culture
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Bryan Muller, Université de Lorraine
Quand de Gaulle arrive le 4 juin 1958 à Alger. Il cherche à rassurer tout le monde – militaires, colons, colonisés – en prononçant son célèbre mais incompréhensible « Je vous ai compris ! ».
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Économie + Entreprise
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Benoit Aubert, Propedia; Yannick Roussel, Propedia
« Les Galettes de Pont-Aven » nous offre une réflexion avant-gardiste sur un thème sensible dans les entreprises : la crise du milieu de vie en environnement professionnel, prémice du burn-out. À revoir.
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Éducation
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Jean-Marie Barbier, Conservatoire national des arts et métiers (CNAM)
Définitions de quelques mots et concepts essentiels dans le débat actuel sur l’éducation.
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Science + Technologie
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Martin Vallée, Institut de physique du globe de Paris (IPGP) – USPC
Comment réduire les conséquences désastreuses d’un séisme ? Le détecter le plus précocement possible pour réagir.
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En anglais
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David M. Pritchard, Université de Strasbourg; Lyn Carson, Western Sydney University
Politicians assume that voters cannot face the financial truth. To democracy experts this is just wrong. Involving voters results in better budgets as shows history from ancient Greece.
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Chroniqueurs
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Événements proposés
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61, avenue du Président Wilson, Cachan, Val-de-Marne, 94230, France — Maison des Sciences de l'Homme (MSH) – Université Paris-Saclay
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61, avenue du Président Wilson, Cachan, Val-de-Marne, 94230, France — Maison des Sciences de l'Homme (MSH) – Université Paris-Saclay
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17 quai d'Anjou, Hôtel de Lauzun, Paris, Paris, 75004, France — Institut d'études avancées de Paris (IEA) – RFIEA
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20, avenue de Ségur, Paris, 75007, France — CEPII
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