Et si on s’activait un peu ?

Au travail ou à la maison, nous sommes de plus en plus sédentaires. Lire ou écrire en position assise ou allongée, regarder la télévision ou jouer à un jeu vidéo, travailler sur ordinateur ou « surfer » sur Internet, être passager dans une voiture : autant de situations où notre niveau d’activité physique est au plus bas.

Or la sédentarité entraîne des risques pour la santé, notamment pour le cœur et les artères. Ces effets sont avérés, et pourtant, les scientifiques ne sont pas d’accord entre eux sur le nombre d’heures à partir duquel on entre dans la zone rouge. Aline Hurtaud et Mikael Loriot, médecins généralistes et enseignants à l’université de Reims Champagne-Ardenne, se sont plongés dans la littérature scientifique sur le sujet. Et livrent quelques points de repère utiles à la femme et à l’homme moderne.

On se reposera, au besoin, sur l’Observatoire national de l’activité physique et de la sédentarité (Onaps). Parce qu’il faut bien donner au moins un ordre de grandeur, cet organisme créé par le ministère des Sports estime que nous sommes sédentaires au-delà de 7 heures passées assis ou allongé dans une journée. Son mot d’ordre ? « On s’active ! »

Bonne lecture !

Estelle Saget

Cheffe de rubrique Santé et Médecine

À la une

Quand vous êtes assis plus de 7 heures par jour, vous êtes considéré comme sédentaire. Mais le seuil retenu varie selon les sources. Daria Nepriakhina/Unsplash

Santé : et vous, êtes-vous sédentaire ?

Aline Hurtaud, Université de Reims Champagne-Ardenne; Mikaël Loriot, Université de Reims Champagne-Ardenne

Les Français passent de plus en plus de temps assis ou allongés, notamment devant un écran. Un mode de vie dommageable pour le cœur et les artères, que l’on peut modifier.

Politique + Société

  • Ce que révèlent les récents discours de Trump sur ses tendances autocrates

    Jerome Viala-Gaudefroy, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières

    Le discours sur l’état de l’Union, un exercice traditionnel pour les présidents américains, a été marqué cette année par un changement de ton radical, dénotant le style quasi tyrannique de son auteur.

  • L’Amérique malade de ses armes

    Jean-Éric Branaa, Université Paris 2 Panthéon-Assas

    La même terrible routine qui se met en branle à chaque tuerie de masse aux États-Unis : émotion collective, couverture médiatique, débats sans fin. Mais rien ne change dans un pays attaché aux armes.

Culture

Économie + Entreprise

Éducation

Science + Technologie

En anglais

  • When citizens set the budget: lessons from ancient Greece

    David M. Pritchard, Université de Strasbourg; Lyn Carson, Western Sydney University

    Politicians assume that voters cannot face the financial truth. To democracy experts this is just wrong. Involving voters results in better budgets as shows history from ancient Greece.

Chroniqueurs

   
 

Événements proposés

Colloque international : « Ce que la demande sociale fait aux sciences sociales », 15-16 février

61, avenue du Président Wilson, Cachan, Val-de-Marne, 94230, France — Maison des Sciences de l'Homme (MSH) – Université Paris-Saclay

Séminaire : « Histoire du design », 2 mars

61, avenue du Président Wilson, Cachan, Val-de-Marne, 94230, France — Maison des Sciences de l'Homme (MSH) – Université Paris-Saclay

Conférence : « Le désir de punir. Une anthropologie du châtiment », 2 mars

17 quai d'Anjou, Hôtel de Lauzun, Paris, Paris, 75004, France — Institut d'études avancées de Paris (IEA) – RFIEA

D'autres événements
 

Contactez-nous Ici pour faire annoncer votre événement.

Pour les possibilités de parrainage, écrivez-nous à Ici