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Après les fusées, le cerveau, nouveau jouet d’Elon Musk
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À partir de ce lundi 29 juillet et jusqu’au 16 août prochain, The Conversation France passe en mode estival. Au menu de nos newsletters d’été, nous vous invitons à (re)découvrir certains de nos articles les mieux adaptés au tempo des vacances. Nous vous proposons également un dossier, comme celui qui s’intéresse cette semaine aux ouvrages que les chercheurs aiment à glisser dans leur valise. Et nous n’oublions pas l’actu du moment, avec un gros plan ce lundi sur la dernière initiative fantasque d’Elon Musk.
Après avoir fait fortune avec PayPal, puis mis sur le marché des voitures de sport électriques avant de lancer des satellites dans l’espace, le milliardaire californien ambitionne de connecter nos cerveaux aux machines. Que vous soyez effrayés ou enthousiasmés par ce scénario de science (fiction), Musk et ses équipes avancent et viennent de présenter les premiers résultats de leur entreprise Neuralink. Il y a deux ans, ce projet ahurissant était dévoilé : faire de nous autant de superintelligences connectées directement à Internet ou à des clouds via des électrodes implantées dans notre cerveau…
Ces premiers résultats s’accompagnent de nouveaux objectifs : il s’agit dorénavant de proposer aux personnes à mobilité très réduite, une interface de commande depuis leur cerveau, afin d’utiliser toutes sortes d’objets connectés. Le neuroscientifique Claude Touzet (Aix-Marseille Université) vous propose de comprendre où on est ce projet et d’estimer à quel moment nous pourrons décupler les capacités de notre petit cerveau.
Bonne lecture !
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Benoît Tonson
Éditeur Science + Technologie, chef de rubrique « Junior »
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À la une
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Elon Musk lors d'une conférence TedX.
TED Conference/Flickr
Claude Touzet, Aix-Marseille Université (AMU)
La (nouvelle) cible de Neuralink sont les personnes avec une motricité très réduite à qui l’entreprise entend proposer une interface de commande depuis le cerveau.
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Préhistoire
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Parois de la tombe égyptienne de Baqet III, Moyen Empire. Chambre funéraire de la tombe n°15.
Pierre Kerner, Université Paris Diderot; Jennifer Kerner, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières
L’archéologie, c’est top moderne ! Le livre Retour vers le paléo nous emmène découvrir les bonnes idées de nos ancêtres, du street-art à la bière et au langage animé.
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Dossier « Dans la valise des chercheurs »
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Albert Dupontel en médecin généraliste, dans l'adaptation cinématographique du livre, par Michel Deville, en 1999.
rdwa.net
Cécile Dutriaux, IAE Paris – Sorbonne Business School
Best-seller sorti en 1998, écoulé à plus de 200 000 exemplaires, publié dans 12 pays, « La maladie de Sachs » est LE « docu-roman » de référence sur le médecin libéral et son quotidien.
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Art
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Une œuvre d'Henry Darger.
Musée d'art moderne de la ville de Paris
Anne Boissière, Université de Lille
Se pencher sur la définition de l’art brut mène à affronter bon nombre de contradictions et suppose de s’interroger sur les caractéristiques d’une œuvre d’art.
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Pour réviser son anglais
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City People Notebook.
Will Eisner Studios
Jean-Matthieu Méon, Université de Lorraine
It's the 100th anniversary of the birth of graphic novel pioneer Will Eisner.
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Événements proposés
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4 Place Jussieu, Paris, 75005, France — Sorbonne Université
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83 boulevard Ornano, Paris, 75018, France — Fondation Veolia
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101, rue de Tolbiac, Île-de-France, 75013, France — Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm)
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20 avenue George Sand, St-Denis la Plaine, Seine-Saint-Denis, 93210, France — Université Paris 13 – USPC
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