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Rechercher l'espoir...
Plusieurs personnes endeuillées disent avoir reçu une lueur d’espoir pendant les moments difficiles qui ont suivi la mort d’un être cher. Cette lueur d’espoir peut prendre plusieurs formes : un rêve, une lecture, une parole bienveillante, une rencontre ou encore un signe inexplicable et révélateur.
Peu importe sa nature, il s’agit d’un événement inattendu qui agit spontanément comme un baume sur une blessure. Il apaise les émotions tumultueuses et vient donner un peu de sens à ce qui en semble dépourvu. Cet événement offre un moment d’accalmie à la douleur et transmet un message bienfaisant.
Qu'est-ce qui accroît la possibilité de percevoir ces signes?
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Se réunir autour du défunt
Le salon funéraire constitue un espace dédié à l’expression de la souffrance. Les membres de la famille et les proches s’y rassemblent pour se soutenir les uns les autres. L’amour et la chaleur que l’on reçoit de ses proches sont salvateurs. Il est d’ailleurs important d’encourager chacun à laisser aller ses sentiments en lui assurant notre soutien. suite >
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Enrichir les funérailles d'éléments personnels
S'investir dans l’organisation des funérailles, c’est se donner la possibilité de démontrer son attachement envers l’être cher. Lui dire qu’on est encore là pour lui… jusqu’au tout dernier instant. Plusieurs occasions s’offriront à vous et à vos proches. suite >
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Les rituels avec ou sans le religieux
La société québécoise, jusqu’à quelques décennies, fournissait un code de comportements dans les rites de passage. On nous transmettait une manière de fonctionner avec des symboles, des paroles, une méthode pour vivre le rite de la mort dictée par la religion et la foi. Ce n’est plus le cas de nos jours... suite >
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Peut-on photographier un défunt dans son cercueil?
Avec la disponibilité des téléphones intelligents, la question de la légalité de prendre la photo d'un défunt dans son cercueil devient de plus en plus actuelle. La loi québécoise le permet-elle? Quel est le rôle des salons funéraires? Le directeur général de la Résidence funéraire de l'Abitibi-Témiscamingue, Patrick Blais, y répond dans une entrevue qu'il a accordée à une station de radio. suite >
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Textes choisis
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lettre
À mon Dylan, parti à 6 mois de grossesse en 2006
Une lettre de Luc. suite >
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Rencontre avec ...
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Chantal Verdon
Le chemin du deuil...
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