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De nouvelles pistes pour améliorer les soins dentaires en France
On sait aujourd’hui que les maladies des dents ou des gencives peuvent avoir de graves conséquences en matière de santé générale. Outre les douleurs qu’elles engendrent, elles sont en effet liées à une augmentation du risque de maladies cardiovasculaires ou de certains cancers, par exemple. Pourtant, en France, cet aspect de la santé demeure mal pris en compte, déplorent Frédéric Denis et Emmanuel Rusch (Université de Tours). Tous deux ont participé à l’élaboration d’un nouveau rapport établissant 44 recommandations pour améliorer la santé buccodentaire. Ils nous en présentent les plus emblématiques.
Et d’ailleurs, savez-vous comment agit le dentifrice sur les bactéries qui vivent dans notre bouche ? Étrangement, cet aspect du brossage n’est pas encore parfaitement connu. Il faut dire que les communautés microbiennes qu’abrite la cavité buccale sont nombreuses et complexes. Niamh Coffey, Albert Leung et Isabel Olegário (RCSI University of Medicine and Health Sciences) nous disent où en sont les connaissances et nous parlent de ce que pourraient être les dentifrices du futur.
Lionel Cavicchioli et Victoire N’Sondé – Chefs de rubrique Santé
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À LA UNE
La santé buccodentaire est essentielle, la France se dote d’une feuille de route
Maladies cardiovasculaires, diabète, cancers… les maladies buccales peuvent avoir de graves conséquences. Pourtant, l’impact de la santé buccodentaire reste largement sous-estimé.
L’objectif du brossage de dents est de prévenir les caries et de rafraîchir l’haleine. Mais que sait-on de l’effet du dentifrice sur le microbiote de la bouche ?
LE CHIFFRE DE LA SEMAINE
C’est le nombre de femmes en âge de procréer qui souffrent du syndrome des ovaires polykystiques (SOPK) en France. Cette maladie est la première cause d’infertilité féminine dans le monde. Pourtant, elle reste méconnue du grand public.
BON À SAVOIR
Quand on souffre d’endométriose, la pratique d’une activité physique peut être envisagée. Celle-ci doit être personnalisée et adaptée aux douleurs ainsi qu’à la forme physique. À privilégier : les activités « douces » et sans impact autour de la mobilisation du bassin et l’assouplissement.
SURPRENANT !
C’EST DE SAISON
C’EST DANS L’ACTU
ENVIRONNEMENT ET SANTÉ
CATASTROPHES NATURELLES
À LA SEMAINE PROCHAINE !
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Très bonne semaine et à mardi prochain !
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Lionel Cavicchioli, chef de rubrique Santé
Victoire N’Sondé, cheffe de rubrique Santé
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