Les orques, ou épaulards, sont des baleines fascinantes. Plus grands prédateurs de nos océans, elles se nourrissent de presque toutes les espèces marines, du poisson à la baleine bleue en passant par le phoque. Mais les données scientifiques sur les habitudes alimentaires des orques, principalement pour les populations isolées, difficiles à observer, demeurent incomplètes. Anaïs Remili, étudiante au doctorat à l’Université McGill, et son équipe de recherche, ont trouvé une solution à ce manque de connaissances. «Notre technique mesure la composition lipidique dans la graisse des orques, et utilise un programme informatique pour recréer la proportion
la plus probable de chaque espèce de proie dans le régime alimentaire d’un individu», explique la chercheuse. En d’autres termes, de petits échantillons de graisse d’orques permettent non seulement de découvrir leur régime alimentaire, mais également de comprendre leur impact sur la chaîne alimentaire et la structure des écosystèmes marins.
Vous arrive-t-il de vous retrouver dans une spirale de pensées négatives? C’est ce qu’on appelle des pensées négatives répétitives (PNR). Et elles peuvent avoir des conséquences importantes sur la santé physique et psychologique des nombreuses personnes qui luttent pour les faire disparaître. Anna Andrianova, candidate au doctorat à l’Université Laval, étudie l’impact des PNR chez les proches aidants, qui sont trop souvent aux prises avec un stress chronique. Dans le cadre de son projet de recherche, la chercheuse tâchera d’évaluer le potentiel de la méditation d’attention focalisée, qui «implique de choisir un objet spécifique, comme la
respiration, et de porter toute son attention sur celui-ci», comme moyen de réduction des PNR.
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Bonne lecture !
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Les orques sont les plus grands prédateurs des océans.
(Shutterstock)
Anaïs Remili, McGill University
En analysant de petits échantillons de graisse d’orque, les scientifiques peuvent découvrir leur régime alimentaire. Cela a des répercussions sur notre compréhension de l’évolution des écosystèmes.
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Les pensées négatives répétitives peuvent avoir un impact négatif sur la qualité du sommeil, réduire l’efficacité et entraver les capacités de prise de décision.
(Shutterstock)
Anna Andrianova, Université Laval
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