L’un était ingénieur biomédical. Un autre était directeur commercial dans la pétrochimie. Une autre encore, contrôleuse technique dans le bâtiment. Malgré de bonnes évolutions de carrière et des postes à responsabilité, ils ont choisi de se reconvertir un jour en professeurs des écoles, au prix d’une forte baisse de salaire. En s’arrêtant sur ces parcours atypiques, Frédérique Giraud (Université Paris Cité) sonde les ressorts de l’engagement vers l’enseignement et la manière dont ses métiers se redéfinissent, à l’heure où l’Éducation nationale vit une importante crise de recrutement. C’est l’objet de notre chronique « Dans la classe ».

À Moscou, la riposte économique et financière des pays occidentaux après l’invasion de l’Ukraine était, semble-t-il, anticipée de longue date. Comme le montrent les économistes Carl Grekou (CEPII), Lionel Ragot et Valérie Mignon (Université Paris Nanterre), la Russie a en effet opéré un pivot vers ses partenaires asiatiques, Chine en tête, dès 2014. Depuis le début de la guerre, ces pays ont pris davantage de poids dans les échanges extérieurs russes, permettant ainsi de limiter l’effet des sanctions américaines ou européennes.

Cela fait partie des questions qui risquent à coup sûr d’animer tout repas de famille ou dîner entre amis : peut-on encore faire des enfants alors que tout nous incite à réduire notre empreinte carbone ? Un bébé n’est-il pas avant tout un petit pollueur en devenir ? Deux chercheurs en philosophie éthique ont planché pour vous proposer des pistes de réponse.

À lire aussi :
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Bonne lecture !

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