The Conversation

Chères lectrices, chers lecteurs,

La rue Wellington était sacrée rue la plus cool au monde en 2022 par Time Out, tandis que la Plaza Saint-Hubert s’est hissée au 27e rang cette année. La professeure à l’École de design de l’UQAM Anne-Marie Broudehoux et le doctorant en études urbaines au programme conjoint de l’INRS-UQAM Bernardo Emmanuel se sont intéressés à ce qui rend une rue « cool », ainsi qu’à l’impact que peut avoir ce genre de palmarès localement.

« Au départ, une élite locale d’artistes, de gastronomes, de membres de la bourgeoisie bohème, en quête d’expériences "authentiques", investissent les lieux et y côtoient les habitués du quartier, à l’abri des foules et du consumérisme de masse », expliquent les auteurs.

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Bonne lecture !

Sacha Tremblay

Chef de la section culture et société

En 2022, la rue Wellington à Montréal était « déclarée la plus branchée au monde » par Time Out. Courtoisie de Caroline Perron

Rue Wellington, Plaza Saint-Hubert… Qu’en est-il vraiment de la « coolitude » des rues défrayant les palmarès ?

Anne-Marie Broudehoux, Université du Québec à Montréal (UQAM); Bernardo Emmanuel, Institut national de la recherche scientifique (INRS)

Le média TimeOut a fait grand bruit en annonçant que certaines rues de Montréal (Wellington, Saint-Hubert) sont classées « plus cool au monde ». Mais qu’en est-il vraiment ?

Un nombre croissant d’emplois requièrent désormais des compétences numériques. Benoit A. Aubert

La littératie numérique devient incontournable et il faut préparer la population canadienne

Benoit A. Aubert, HEC Montréal; Simon Bourdeau, Université du Québec à Montréal (UQAM); Thierry Warin, HEC Montréal

La vaste majorité des emplois requièrent désormais des compétences numériques, d’où l’importance d’ajouter ces compétences à celles traditionnellement considérées en éducation.

CAPTION. (Shutterstock)

Les changements climatiques pourraient accentuer le comportement prédateur du phytoplancton, entraînant une hausse du CO₂ dans l’atmosphère

Beatrix Beisner, Université du Québec à Montréal (UQAM)

Certains planctons végétaux adoptent un comportement prédateur et consomment des bactéries. Cela peut contribuer au changement climatique, car ce plancton arrête la photosynthèse.

Les femmes qui reçoivent des soins obstétriques et gynécologiques doivent être entendues lorsqu'elles disent qu'elles ont reçu un traitement inadéquat et violent. (Shutterstock)

Voici comment reconnaître et prévenir la violence obstétricale et gynécologique

Audrey Ferron-Parayre, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa; Dominique Bernier, Université du Québec à Montréal (UQAM); Marie-Josee Bedard; Mariève Lacroix, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa

On retrouve souvent, lors de violences obstétricales et gynécologiques, une absence de consentement, ou un consentement non éclairé.

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  • La France accueille-t-elle vraiment beaucoup de migrants ?

    Françoise Bahoken, Université Gustave Eiffel; Nicolas Lambert, Centre national de la recherche scientifique (CNRS)

    Les idées reçues sur les migrations sont nourries par des cartes trompeuses. Une équipe de chercheurs propose une famille d’outils cartographiques pour explorer ces données complexes aisément.

  • Mauritanie : pourquoi Mohamed ould Ghazouani a été réélu

    Raquel Ojeda-Garcia, Universidad de Granada

    Une campagne construite et déroulée avec la force des structures du pouvoir est l'un des facteurs expliquant la réélection de Mouhamed ould Ghazouani.

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