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C’est l’un des débats de l’heure, à la suite des pluies diluviennes du 9 août au Québec et aux inondations monstres qu’elles ont provoquées: doit-on reconstruire à l’identique les espaces sinistrés, quitte à s’exposer à de nouveaux dégâts -et à des coûts faramineux pour les contribuables- ou faire autrement, en tenant compte des changements climatiques? Et surtout, doit-on cesser de creuser des sous-sols et de les aménager en pièces de vie, ou se contenter d'une dalle de béton, comme à peu près partout sur la planète? Le doctorant Bernard Deschamps, de l'Institut des sciences de l’environnement de l'Uqam, est de cet avis. «Autrefois, les caves
étaient des espaces utilitaires, sombres et humides, conçus pour stocker le charbon et d'autres provisions. L'idée de vivre dans une cave était inconcevable.» Cela devrait le redevenir, changement climatique oblige.
L’armée ukrainienne poursuit son offensive en territoire russe, et l’armée russe, la sienne en Ukraine. Ce qui apporte une nouvelle donne à un éventuel accord de paix, écrit Renéo Lukic, de l’Université Laval: «en attaquant le territoire russe, l’Ukraine a élargi sa base de négociations. Désormais, sur la table, on trouvera l’option «les terres ukrainiennes» en échange «des terres russes» présentement occupées par l’armée ukrainienne».
La convention nationale démocrate, qui s’est tenue à Chicago cette semaine dans une ambiance euphorique, a couronné la candidate Kamala Harris. L’un de ses atouts dans sa conquête de la Maison-Blanche (elle en a indéniablement plusieurs, comme son discours de jeudi soir l'a démontré) est son utilisation, brillante, séduisante, et très efficace des réseaux sociaux, notamment TikTok.
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Dans ce nouveau volet de notre série estivale sur les lacs, un groupe de chercheurs de l’UQAC, de l’UQAT et de l’Université du Vermont nous expliquent ce qui se passe sous la surface des lacs gelés, en hiver. «C'est une période unique dans leur cycle annuel», écrivent-ils. Mais les changements climatiques font que déjà, des milliers de lacs dans l’hémisphère Nord ne gèlent plus ou seulement de manière occasionnelle. Cela affectera le bon fonctionnement de ces grands écosystèmes.
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La variole simienne, ou mpox, est devenue une urgence de santé publique mondiale. Si l’actuelle éclosion est intelligemment et efficacement contrôlée, nul besoin de s’inquiéter au Canada, explique un épidémiologiste, qui déplore toutefois que la communauté internationale n’ait pris au sérieux que tardivement la propagation d’une nouvelle souche du virus, plus dangereuse.
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De concert avec nos collègues de The Conversation Canada, nous lançons cette semaine une nouvelle série qui se penchera sur les aspirations, défis et réalités de la génération des vingtenaires et des trentenaires. Notre premier article s’intéresse à tous ces moments embarrassants et malaisants qui peuvent ponctuer un premier rendez-vous amoureux.
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Les fruits et légumes frais peuvent être contaminés par des bactéries, des champignons, des virus et des pesticides. Une microbiologiste nous conseille de bien les laver avant de les consommer. Mais pas n’importe comment. Voici les meilleures techniques - et elles sont très simples.
Bonne lecture !
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Martine Turenne
Éditrice, La Conversation Canada
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Des meubles et des articles ménagers jetés, au lendemain des inondations du 9 août 2024, dans une rue de Beaconsfield, à l'ouest de Montréal. Les catastrophes nous obligent à repenser notre façon de reconstruire.
La Presse canadienne/Graham Hughes
Bernard Deschamps, Université du Québec à Montréal (UQAM)
La grande majorité des dommages aux bâtiments résidentiels lors d'inondations sont dans les sous-sols. Plutôt que de reconstruire à l'identique après une catastrophe, il faut reconstruire mieux.
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Un soldat ukrainien passe devant le centre ville de Sudzha, dans la région de Koursk, en Russie, le 16 août 2024.
(AP Photo)
Renéo Lukic, Université Laval
Confrontée depuis deux ans et demi à l’invasion de l’armée russe sur son territoire, l’Ukraine doit repenser sa stratégie politico-militaire. L’incursion de son armée en territoire russe en fait partie.
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La candidate démocrate à la présidence, la vice-présidente Kamala Harris, lors de la première journée de la Convention nationale démocrate, le lundi 19 août 2024, à Chicago.
La Presse canadienne/Jacquelyn Martin
Laurence Grondin-Robillard, Université du Québec à Montréal (UQAM)
L’équipe de campagne de Kamala Harris fait une utilisation novatrice des réseaux sociaux… et ça fonctionne!
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Couverture de glace et de neige sur un lac de la forêt boréale en hiver (Lac Simoncouche, Saguenay, Québec).
(Noémie Gaudreault)
Marie-Pier Hébert, University of Vermont; Catherine Girard, Université du Québec à Chicoutimi (UQAC); Guillaume Grosbois, Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT); Milla Rautio, Université du Québec à Chicoutimi (UQAC)
Les Canadiens connaissent bien les hivers froids où tout semble être gelé dans la nature. Toutefois, plusieurs animaux demeurent actifs en hiver, même sous la couverture de glace des lacs.
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Le virus de la mpox provoque des symptômes semblables à ceux de la grippe accompagnés d’éruptions cutanées.
(NIAID)
Kiffer George Card, Simon Fraser University
La déclaration et les mesures de l'OMS signifient que la communauté internationale devrait être attentive et se préparer à une éventuelle épidémie internationale de mpox à grande échelle.
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Les rendez-vous amoureux peuvent nous exposer à beaucoup de moments gênants, peut-être même à certains dont on ignorait qu’ils nous embarrasseraient.
(Shutterstock)
Gio Dolcecore, Mount Royal University
Il est normal de s’inquiéter de passer pour maladroit ou ridicule lors d’une première rencontre. Mais l’accepter peut améliorer notre confiance en nous, et même nos relations amoureuses.
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Le lavage à l'eau des fruits et légumes aident à enlever les bactéries et les pesticides.
(Shutterstock)
Primrose Freestone, University of Leicester
Les produits frais peuvent être couverts de saleté, et être contaminés par des bactéries, des champignons, des virus et des pesticides.
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À lire en anglais sur The Conversation Canada
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Michaela Pedersen-Macnab, University of Toronto
Canadian engagement with China is a hard policy to quit because it’s hard to measure. Over time, this type of foreign policy can become a reflex rather than a conscious policy choice.
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